À propos de la revue > Consignes aux auteurs

Avant-propos

La difficulté liée à l’approche interdisciplinaire est de pouvoir proposer, au sein d’une même revue, des choix typographiques et de mise en forme des références qui ne contredisent pas les règles convenues au sein des disciplines. La revue, aux vues de la thématique qu’elle développe fait donc le choix, d’une part, de respecter les identités disciplinaires en proposant deux modèles typographiques en matière de référencement et de bibliographie à choisir en fonction de la pratique des chercheur·e·s et, d’autre part, d’imposer des règles communes qui participeront d’une harmonisation nécessaire à une bonne orchestration éditoriale des textes. Cette conception permet de situer la revue comme un tremplin vers la pluridisciplinarité sans masquer les particularismes des disciplines représentées. 

Les normes de publication sont présentées selon le format d’édition préconisé par le comité éditorial de la revue. Il est souhaitable, pour accélérer le travail d’édition et harmoniser la présentation des textes, que les auteurs s’y conforment le mieux possible. 

Voici les principales règles typographiques que nous vous demandons d’adopter. En cas d’incertitude ou pour plus de précisions, nous renvoyons au Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale.

 

Format des manuscrits

L’ordre de grandeur des articles publiés est de 30 000 à 50 000 caractères espaces non-compris. Celui des notes de recherche est porté de 200 à 300 mots. Des textes d’une longueur plus importante peuvent être admis mais restent soumis à l’acceptation du comité de rédaction.

Rédiger les textes en utilisant la typographie Times New Roman, taille de caractères 11, avec un interligne de 12 points ; taille 9 pour les notes, avec interligne de 10 points. Justifier les textes, y compris pour les notes. 

 

  • Titre 

Times New Roman 14, gras, centré. 

Un saut de ligne après le titre.

 

  • Nom de l’auteur 

Times New Roman 14, centré. Prénom Nom. Majuscules seulement aux initiales. Ligne suivante : nom de l’université de rattachement en italique, Times New Roman, taille 14, centré. 

 

  • Résumé

Le résumé est donné en français. Il doit être concis et ne doit pas excéder 850 signes espaces non-compris. Il expose brièvement l’objectif de la recherche, les principaux résultats, et les conclusions majeures de l’étude. La citation de références dans le résumé est déconseillée, toutefois, si l’appel à auteur est indispensable, ne mentionner que le(s) nom(s) de(s) auteur(s) et l’année. Il est aussi déconseillé de faire appel à des abréviations non usuelles ; si nécessaire, il est important de les définir dès leur première citation dans le résumé.

  

  • Mots-clés

 Concernant la liste des mots clés, ceux-ci doivent être écrits sans majuscule (sauf noms propres), et sans point en fin de liste. 

 

  • Titres de partie 

Times New Roman 12, gras, minuscules, sans retrait de première ligne. La numérotation en est libre, (lettre, chiffre, aucune), mais veiller à ne pas multiplier les niveaux de titre. 

* Caractères gras pour le premier niveau, taille 12, sans retrait de ligne (laissez deux lignes avant, une ligne après). 

* Caractères gras pour le second niveau, taille 11, sans retrait de ligne (une ligne avant, aucune après). 

* Caractères italiques pour le troisième, taille 11, retrait de 0,7 cm (une ligne avant, aucune après). 

 

  • Mise en forme des paragraphes

Retrait de première ligne : 0,7 cm. 

Aucun retrait ni à gauche, ni à droite du texte, sauf en ce qui concerne les citations longues (0,7 cm de retrait à gauche, texte en caractère de taille 10). 

Laisser après chaque paragraphe un espacement de 3 points. Entre les grandes parties l’espacement pourra être augmenté. 

  

  • Mise en page

Fournir des fichiers .doc avec une mise en pages rudimentaire (cette dernière sera de toute façon entièrement remaniée et adaptée aux maquettes des collections).

Utiliser des alinéas pour distinguer facilement les paragraphes (proscrire les tabulations en début et les lignes vierges entre les paragraphes). Les citations extraites doivent être clairement repérables.

Marges (que la page soit paire ou impaire) : haut : 5,5 cm, bas : 4,4 cm, gauche : 4,5 cm, droite : 4,5 cm, en-tête : 4,5 cm.

 

  • Citations

Courtes : en caractères romains (droits) et entre guillemets dans le corps du texte. Utiliser les guillemets « à la française » (comme ici) ; les guillemets anglais étant réservés aux citations de second niveau (« exemple “concret” de leur emploi »).

Longues : les extraire du texte, en caractères romains (droits) et entre guillemets (mais le résultat final dépendra de la collection).

Les citations étrangères se composent en italique (mais les guillemets qui les contiennent – appartenant au texte principal – restent en romain).

Toute coupure au sein d’une citation doit être signalée par [...] ; de même tout raccord ou commentaire personnel doit être placé entre crochets.

 

  • Guillemets et ponctuation

Le début de la citation est fondu dans le texte mais elle se termine sur une phrase complète (point final à l’extérieur). Ex. : Mme Lepic compare les cheveux de Poil de Carotte à des « baguettes de tambour. Il userait un pot de pommade tous les matins si on lui en donnait ».

La citation débute par une phrase complète ; elle est introduite par un deux-points si elle fait suite au texte ; son premier mot prend alors une capitale initiale (point final à l’intérieur). Ex. : deux siècles avant notre ère, le poète Térence affirmait : « Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m’est étranger. »

 

  • Abréviations

Définir dans le corps du texte (ou en note infrapaginale si le terme est très long) les abréviations qui ne sont pas d’usage courant lors de leur première utilisation.

Les abréviations restent dans la plupart des cas en bas de casse. Ex. : vol., t., no, ms. (singulier), mss (pluriel), etc.

 

  • Espaces insécables

Saisir impérativement les insécables (ctrl-maj-espace sur PC). Car autant la mise en pages papier peut être corrigée, autant l’affichage de la version numérique sera aléatoire vu qu’elle dépendra des paramètres de l’internaute (par ex. s’il n’y a pas d’insécable à « p. 200 », alors « 200 » pourra être rejeté en début de ligne). 

Quelques exemples d’insécables à insérer (symbolisés ci-dessous par « ») :

– 1er« »octobre« »1999, 200« »mètres, M.« »Dupont, Louis« »XIV, vol.« »I, p.« »39, 300« »p., f°« »100v°, XVIe« »siècle, 13« »h, 13« »h« »30.

 

  • Lettres capitales et italique

Ne pas insérer de capitale initiale à chaque terme d’un organisme. Quelques exemples d’usage : l’Académie des inscriptions et belles-lettres, l’académie de Rennes, le Centre Georges-Pompidou ; le Centre national de la recherche scientifique, l’École nationale des ponts et chaussées (ou les Ponts et Chaussées).

Les lettres en capitale s’accentuent : Á, À, Â, Í, Ì, Î, Ú, Ù, Û, É, È, Ê, Ó, Ò, Ô, etc. 

Les organismes étrangers cités doivent rester en romain (non pas en italique). Les citations entre guillemets ne doivent pas être composées en italique.

 

  • Crochets

Les crochets ne sont employés que dans 4 cas : – coupure au sein d’une citation et/ou commentaire, ex. : « citation [...] citation [commentaire/ajout personnel] citation » ; – date d’édition estimée par l’auteur, ex. : Dupont M., Titre du livre, Paris, s. d. [1920] ; – parenthèses incluses dans des parenthèses, ex. : (Dupont M. [dir.], Titre du livre, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2010) ; – parenthèses suivies de parenthèses (les secondes parenthèses se transforment alors en crochets), ex. : texte (texte) [texte].

Les traductions, les dates de 1re édition, etc., doivent donc être composées entre parenthèses. Aussi « [...] » ne devra pas apparaître en début de citation.

 

Références bibliographiques

Comme indiqué dans la section avertissement, et étant donné le caractère pluridisciplinaire de la revue, les auteur·e·s ont deux possibilités de style de citation bibliographique selon la tradition des disciplines : 

  • Modèle de référencement « littéraire » (L)

La référence est mentionnée sous forme d’appel de note, indiqué en chiffre arabe et en exposant. Il se colle au mot, à la fin d’une phrase ou au guillemet fermant d’une citation, avant tout autre signe de ponctuation. Il ne doit pas être précédé d’un espace et ne peut être rejeté à la ligne suivante : « Comme il a été montré par Dupont, "la population communale augmente […]"1 ».

 

  • Modèles de référencement à « l’anglo-saxonne » (A)

La référence est mentionnée par renvois dans le texte. Lorsque la référence est introduite dans une phrase on ne mentionne que le(s) nom(s) de l’auteur(s) suivi de la date entre parenthèses : « Comme il a été montré par Dupont (2015), la population communale augmente […] ».

Lorsque l’on a affaire à plus de trois auteurs, les mêmes instructions sont mentionnées comme suit : « Comme il a été montré par Dupont et al. (2015), la population communale augmente […] (Dupont et al., 2015) ».

 

  • Notes de bas de page 

Les notes sont placées en bas de page, avec interligne simple, justifiées, en Times New Roman 10. 

Ne pas faire de renvois à des numéros de notes. 

Pour les notes de bas de page adoptant le style de référencement littéraire, les auteur·e·s sont invité·e·s à abréger le prénom de l’auteur (A.), donner la pagination d’un ouvrage ou d’un article de manière précise (p. 25) et faire attention à l’utilisation des op. cit., ibid., et id. 

 

  • Bibliographie

Les références sont listées en fin d’article par ordre alphabétique et sont présentées comme suit pour le style anglo-saxon (A) et le style littéraire (L) : 

    • Ouvrages, sources éditées 

(A) PAILLÉ Pierre et MUCCHIELLI Alex, 2016, L’analyse qualitative en sciences humaines et sociales, Paris, Armand Colin. 

(L) REYNAUD Marcelle-Renée, Le temps des princes. Louis II et Louis III d’Anjou-Provence (1384-1434), Lyon, Presses universitaires de Lyon, 2000.

 

    • Ouvrages collectifs, colloques, etc.

(A) BIAU Véronique et TAPIE Guy (dir.), 2009, La fabrication de la ville. Métiers et organisations, Marseille, Éditions Parenthèses.

(L) MATZ Jean-Michel, TONNERRE Noël-Yves (dir.), René d’Anjou (1409-1480). Pouvoirs et gouvernement. Actes du colloque d’Angers (2009), Rennes, Presses universitaire de Rennes, 2011.

 

    • Travaux universitaires (mémoire, thèse)

(A) LEGER-SMITH Fanny-Anaïs, 2014, Évolution des pratiques des paysagistes face aux enjeux écologiques de la conception urbaine, Thèse en aménagement de l’espace et urbanisme, Angers, Université d’Angers, Agrocampus Ouest Centre d’Angers.

(L) ROUSSEAU Aurélien, Finances publiques et société à Angers au XVe siècle (v. 1420-v. 1485), Mémoire de D.E.A, Angers, Université d’Angers, 2003.

 

    • Articles dans un ouvrage collectif, colloques etc.

(A) BIAU Véronique, 2009, « Les urbanistes en quête d’identité ; qualifications et modèles professionnels », in BIAU V. et TAPIE G. (dir.), La fabrication de la ville. Métiers et organisations, Marseille, Éditions Parenthèses, p. 72-85.

(L) AUTRAND Françoise, CONTAMINE Philippe, « Les livres des hommes de pouvoir : de la pratique à la culture écrite », dans ORNATO Monique, PONS Nicole (dir.), Pratiques de la culture écrite en France au XVe siècle, Actes du colloque international du CNRS en l’honneur de G. Ouy (Paris, 1992), Louvain-la-Neuve, FIDEM, 1995, p. 193-216.

 

    • Articles de revue électronique

(A) BRIFFAUD Serge, 2014, « Le paysage à l'épreuve de la transition énergétique », Projets de paysages, n° 10, [En ligne] URL: http://www.projetsdepaysage.fr/fr/le_paysage_a_l_epreuve_de_la_transition_energetique, consulté le 25 janvier 2020.

(L) BECCHIA Cécile, CHAMBODUC DE SAINT PULGENT Diane, « L’identité : introduction », Questes, n° 24, 2012, [En ligne], consulté le 16 mai 2018, URL : http://journals.openedition.org/questes/2948

 

    • Articles de revue scientifique

(A) DAVODEAU Hervé, 2014, « Le réseau des écoles de paysages françaises : enjeux pédagogiques, scientifiques et professionnels », Sud-Ouest Européen, n° 38, p. 63-70. 

(L) TESSIER Georges, « Les archives de la Chambre des comptes de Blois à la fin du XVIIIe siècle (1775-1781) », Bibliothèque de l’École des chartes, t. 90 [ou n°], 1929, p. 354-377.

 

    • Sitographie

UBL, École doctorale STT, https://ed-stt.u-bretagneloire.fr/, consulté le 25 janvier 2020.

 

    • Sources écrites

Archives nationales, P 13344, fol. 25v. 

 

    • Sources orales, témoignages, discours, conférence, entretien etc.

DUPONT Jean, Angers, 25 janvier 2020, facultatif : âge, contexte (indiquer si présence d’un traducteur, la nature formelle/informelle de l’entretien, s’il a donné lieu à une prise de note, un enregistrement etc.), et si anonymisation, indiquer la modification de l’identité.

 

    • Œuvres d’art

BOURGEOIS Louise, Lacs de Montagnes, 1997, pointe sèche, burin, eau-forte et aquatinte cuivre, épreuve sur vélin de BKF Rives, 2 plaques de 45, 5 x 60, 5 cm, Musée du Louvre, Paris.

 

    • Tableaux, graphiques, cartes et illustrations

Il est souhaitable que les titres et les légendes des tableaux, graphiques et cartes soient rédigés en français ou en anglais et sortis de leur cadre. Le format portrait est toujours préférable, mais on peut adopter un format paysage si nécessaire (ex : Figure 1 : Carte de localisation [caractère normal en français]).

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